Didier Motti
Paula Pi traverse les sentiments humains à la...
Paula Pi traverse les sentiments humains à la suite de la danseuse allemande Dore Hoyer.
D’abord la vanité, avec des doigts interminables. Puis le désir, arrondi. Une pause : Paula Pi répond aux questions d’un interlocuteur invisible et muet. Et se fait pousser une moustache. Arrivent ensuite la haine, pleine de rejet et l’angoisse, qui s’enroule sur elle-même. Paula Pi enfile un débardeur noir, complète sa pilosité faciale par une courte barbe et commence à faire l’amour. Ses bras (…) Lire la suite
ON N’A PAS VU LA BÊTE ! Pourtant on a eu...
ON N’A PAS VU LA BÊTE !
Pourtant on a eu peur.
Au début son arrivée semblait imminente.
Le danseur était tout apeuré. Et puis finalement, à force de taper des pieds, tout seul, puis rejoint par un puis deux puis quatre danseurs ils ont dû réussir à la faire partir, à lui faire peur. Du coup, on a pu tranquillement contempler les danseurs pendant toute la durée de la pièce et le festival s’est bien terminé !!
Nouvel article N° 185
Nouvel article N° 177
Amélie Poirier tisse les voiles
Étoffes tissées sur le plateau et voile gonflée par le vent
Paroles et corps voilés ou dévoilés
Habits sociaux, religieux, politiques
Féministes
Un fantôme devient
Madone
Enguirlandée
Nouvel article N° 135
en-voût
Elle (re)tient
Olga de Soto commence par évoquer un ami absent, au moyen de l’incorporation d’une danse écrite pour lui. Voilà, le propos est posé : il est question d’utiliser son corps pour donner à voir, donner à entendre la mémoire.
Le contexte de « la table verte » : un bébé, un projet, deux chemins.
Les deux chemins parcourus, un autre bébé arrivé, elle nous emmène dans un troisième chemin : il ne s’agit plus de la pièce ni de la mémoire qu’en a conservé le monde - les corps en mouvement ouvraient (…) Lire la suite